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ScriptDoctor.frBlog du scriptdoctorécrire le genre policier ‒ film série ou roman polar

écrire le genre policier ‒ film série ou roman polar

Documentation scénario: donnez de la chair à vos histoires

Un mauvais scénario, c’est d’abord une mauvaise histoire. Pas seulement la structure et ses éléments importants, mais l’histoire dans sa globalité, c’est à dire l’intrigue, les personnages, le thème, le ton, etc. Les personnages sont le véhicule de cette histoire mais comment éviter de passer deux heures avec des personnages ennuyeux ? Une histoire sans relief ? Une intrigue molle ? La documentation ne remplacera certes pas vos articulations logiques mais elle vous aidera à écrire vrai si tant est que vous sachiez comment l’utiliser.

Exemple d’utilisation de documentation pour écrire un bon méchant

Vous cherchez à faire une intrigue policière (cf. le cours dédié pour comprendre écrire et vendre le genre policier) et vous butez sur votre personnage de méchant, personnage emplématique de toute votre histoire. En surfant sur les différents quotidiens traitant des faits divers, vous trouverez surement matière à remplir vos carnets pour élaborer un profil et un mobile cohérent.
Exemple :

Suite à une étude comparant les condamnations pour proxénétisme entre 2008 et 2010, il apparaît qu’à Paris, ce sont les roumains et les chinois qui se partagent le « territoire ».

On trouve les chinois dans les Xe, XIIIe arrondissements et dans le quartier de Belleville avec des « salons de massage » d’un genre particulier et les roumains plus au nord de la Capitale ou au Bois de Boulogne.

Mais contre toute attente, 30% des condamnées seraient des femmes !

Ce sont les fameuses « mamas nigérianes », d’anciennes prostituées qui n’hésitent pas à mettre « leurs compatriotes » sur le trottoir en les admonestant à coups de « djudjus », petites statuettes du culte vaudou censées couvrir de sortilèges les jeunes femmes exploitées.

A vos scénarios !
Source : le Figaro.fr, article posté par Marie-Amélie Lombard publié le 27/02/2012

Enquête, peinture et cinéma : voir le court métrage de Cédric Salmon

Un faussaire de tableaux enquête sur ce qui a mystérieusement inspiré un peintre romantique du XIXe siècle. Avec : Eric De Sarria, Gabriel Le Doze, Michel Debrane, Georges Salmon et Roger Mangiavacca.

Peinture et cinéma se conjuguent dans ce film de fin d’études


Vous pouvez voir la liste exhaustive de mes diffusions sur la page IMDB de Cédric Salmon.

  • Prix de la mise en scène (Union des Auteurs Réalisateurs et Techniciens du cinéma, 2001)
  • Prix du public (festival international de Cergy-Pontoise, 2002)
  • Prix du meilleur scénario (festival international de Palavas ; jury de Claude Zidi, 2004)

Détails : Il s’agit de mon film de fin d’études. J’ai tourné avec la ARRI 16SR (c’est à dire en 16mm) puis le film a été gonflé en 35mm pour être projeté en salles.
J’ai beaucoup travaillé la prise de son et le mixage avec Stéphane Isidore et Grégory Lemarié (ingénieurs son), ainsi que la musique originale avec les frères Alexis et Thibault Roy (compositeurs).

Les oreilles attentives constateront aussi que j’ai choisi de travailler avec un comédien de doublage, qui est par définition peu connu mais dont la voix est paradoxalement très familière au public (voir le CV hallucinant de Gabriel Le Doze). Ma motivation était au départ de faire résonner la thématique du film (un artiste qui est dans l’ombre d’un autre), puis j’ai découvert que le milieu du doublage français était surtout un vivier de talents d’une rare technicité ! Ce travail très précis sur la voix s’est bien marié avec le jeu du comédien principal Eric De Sarria, plus axé sur un langage théâtral visuel.

L’atelier du peintre a été reconstitué en studio par la décoratrice Angélique Verbeck. Nous avons également tourné dans la partie ancienne de la bibliothèque municipale de Versailles, qui date du XVIIIe siècle.
Le tout a été mis en lumière par mon chef opérateur Guillaume Vatan (voir sa filmographie sur IMDB), avec qui j’ai déterminé une palette de couleurs assez précise, en référence à la peinture romantique dont il est question dans le film.
J’espère que ce petit conte sur la peinture vous plaira. (N’hésitez pas à utiliser le mode plein écran !) Si vous aimez la peinture et le cinéma, donnez-moi votre avis !

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