Les astuces scénaristiques sont nombreuses, en voici trois pour vous permettre de vous différencier et marquer plus durablement vos lecteurs. Accentuez le “turning point” du 2 de votre 1 – 2 – 3 Cette méthode est en ligne en consultant le cours dédié Comment écrire un scénario sans peine avec la tâche) Vous aurez une […].
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Les astuces scénaristiques sont nombreuses, en voici trois pour vous permettre de vous différencier et marquer plus durablement vos lecteurs.
- Accentuez le “turning point” du 2 de votre 1 – 2 – 3
Cette méthode est en ligne en consultant le cours dédié Comment écrire un scénario sans peine avec la tâche)Vous aurez une fin de 2 pertinent lorsque votre protagoniste trouvera ce qu’il était venu chercher, mais que cela ne correspondra en rien à ce qu’il imaginait…
- Autre piste : donnez des noms originaux à vos personnages.
Plus les noms de vos personnages sont communs et sans reliefs et plus ils sont nombreux, moins votre lecteur pourra les différencier. Mettez un Paul, Jacques, Olivier et un Pierre dans le même synopsis et vous créez déjà de la confusion.Prendre un nom original pour votre protagoniste peut-être un moyen de vous différencier (ne pas en abuser non plus…)
- Dernière piste, injectez votre vécu à l’écran.
Si un personnage comme Rocky a marqué les esprits, c’est certes grâce à son nom mais aussi à ce qu’il incarne intrasèquement. Sylvester Stallone l’a brillamment expliqué dans un portrait fait par le New York Times lors des Oscars 1976 intitulé Comment les Underdogs peuvent devenir des champions :
« Vous savez, si Rocky n’obtient pas de récompenses ou de distinctions, il restera toujours le fait qu’une personne totalement invendable peut produire un diamant à l’état brut, un joyau. Il ya beaucoup plus de gens comme moi, des gens qui dans leur profession sont méprisés par leurs pères ou à qui on n’a pas envie de laisser la chance de prouver leur valeur. Quand cela arrive, leurs énergies créatrices commencent à tourbillonner à l’intérieur, les érodent et ils deviennent envieux, vindicatifs ou commencent à boire. Moi-même, je me suis tourné vers les combats, j’en faisais à New York une fois tous les quatre ou cinq semaines. Maintenant, quand je repense à cela, je sais que c’était juste une façon pour moi de libérer mon énergie créatrice ».Le message est clair : il ne faut jamais abandonner. Continuez à vous battre pour écrire de meilleurs scénarios et vous pourrez peut-être percer. Il n’y a peut-être pas de meilleur exemple que Stallone sur ce principe qui est passé par plusieurs petits jobs (nettoyeur des cages des lions au zoo de Central Park, placeur dans une salle de cinéma). Il fait maintenant partie des valeurs sures d’Holldywood.
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