À propos de cette formation e-learning :
– Durée totale : 97 minutes
– Difficulté : tout niveau
– Exercice inclus : possibilité d’envoyer son document et d’en recevoir la correctionBon plan : masterclass à -50% dans notre pack de 10 masterclass : formation socle.
S’INSCRIRE À CETTE MASTERCLASS
Cédric SALMON
Bonne formation !
Christine Valentini
Bonjour,
Quelques questions après le visionnage de l’atelier d’écriture :
– Quid de la tâche pour le 2 de l’histoire de l’enquête, s’il y a deux enquêteurs, personnages principaux, en binôme dans l’histoire ?
– Dans le synopsis issu du livre de Vincent Robert et cité dans l’atelier d’écriture du mystère, d’un point de vue structurel, la victime aurait-elle pu être la mère de Patricia ou bien le juge ? Si non , pour quelle raison ? L’enquête consisterait alors à trouver la coupable (Patricia) même si elle-même a été une victime par le passé.
– Les faux coupables doivent-ils être choisis toujours en lien avec le mobile du tueur et donc se rapporter au thème ? Serait-il cohérent, structurant, que le tueur emmène les enquêteurs sur une piste dans le milieu professionnel de la victime par exemple pour détourner l’attention de la police ?
Merci d’avance
Christine
Cédric SALMON
Bonjour Christine,
Voici mes réponses à vos questions. Merci de votre assiduité 🙂
– S’il y a deux enquêteurs, nous sommes dans le cas d’un protagoniste à deux têtes (si l’un perd, l’autre aussi) et le principe est identique mais la tâche est alors souvent double : pendant que l’un doit faire A, l’autre doit faire B.
– En l’état du synopsis, la victime n’aurait pas pu être la mère de Patricia (ou le juge), car il n’y aurait pas assez d’actions entreprises par ce personnage, et donc pas assez d’indices à trouver. Il faudrait reprendre TOUT le synopsis du point de vue de la nouvelle victime.
– Il est recommandé de choisir des suspects
en lien avec le thème afin que ces fausses pistes servent aussi pour creuser la morale de l’histoire. Si le tueur a tout intérêt à emmener les enquêteurs sur une piste très éloignée de son propre mobile, l’auteur s’arrangera, lui, pour que cette fausse piste soit une déclinaison de son thème central.
Bon crime !
Christine Valentini
Merci beaucoup.
Christine Valentini
Bonjour,
J’ai une question sur la phrase mystère.
J’ai compris qu’il s’agit d’y inscrire des faits que personne ne connait à part peut-être une seule personne et qui correspondent à des traces ou erreurs laissées par le tueur. Certains de ces indices serviront de rebondissement pour un changement de piste par exemple ou une révélation pour une bonne gestion de l’information.
Pouvez-vous me confirmer que dans cette phrase, on inscrit également les actions faites par la victime que personne ne connait ?
Mon questionnement principal se porte sur la forme de cette phrase mystère : faut-il rédiger, faire une liste, peut-il y avoir plusieurs phrases, y indiquer les indices et leurs significations finales ? Cette phrase mystère tient-elle sur une feuille ?
Merci d’avance
Christine
Cédric SALMON
Oui, dans cette phrase on inscrit également les actions faites par la victime que personne ne connait. Le créateur de cette technique, mon collègue Vincent Robert, aime la formuler comme un secret que nous révèlerait la victime, post-mortem: « J’ai été assassiné par XXX, tandis que je m’apprêtais à XXX etc. »
Cette phrase (ou ces quelques phrases) s’écrivent alors à la première personne, sur un tiers de page. C’est le spoiler absolu 😉
Christine Valentini
Merci.